31 octobre 2011

Oblivion (Dementia)

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Alors que je pianotais sur mon ...piano (note personnel: cette phrase est pourrie), mes doigts sont resté bloqués sur trois notes que je trouvais cool.
La partie gauche de mon cerveau (ou était-ce la droite ?) a dit "Mais non, on peut pas faire de musique avec seulement trois notes !", l'autre hémisphère a répondu "Gneu.".
J'ai écouté l'hémisphère Gneu et je me suis remis à pianoter. Mais bon, pour faire plaisir à l'hémisphère chiant qui fait même pas gneu, j'ai quand-même rajouté une ou deux notes en plus.


Et voilà donc la petite musique d'ambiance que ça a donné.
"Dementia" c'est parce-que si vous l'écoutez trop, bah vous devenez comme mon hémisphère gauche (ou droit ?)... ou comme Zbloups. Regardez-le, je l'avais prévenu mais il n'écoute rien.




4 octobre 2011

Petit mot sur Sous le regard vide de la lune

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Premier petit mot sur Sous le regard vide de la lune avec un texte que j'ai écris il y a pas mal de temps et qui apparaitra dans le livre. Il reflète assez bien le thème principal du roman.

Ce livre sera plus sombre que Prophétie et sera, dans l'ensemble, complètement différent, à commencer par le style puisqu'il est écrit à la première personne.

Voilà donc le texte en question que j'avais intitulé Personne ne sait.
Un autre texte que j'ai écris à peu près dans la même période et qui se trouve d'ailleurs aussi sur le blog apparaitra dans le livre, mais ça sera le sujet d'un prochain "petit mot".
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Personne ne sait ce que c'est que d'être de l'autre côté
Personne ne comprend
Je n'ai jamais voulu ne faire que le bien


Et lui plantant ces lames je la libérais de sa peur et chacune de ses larmes était un joyau qu'elle m'offrait

Personne ne sait ce que c'est de ressentir cette peur
Personne ne comprend
Je n'ai jamais cherché que votre amour, et c'est votre haine que je récoltais


Et la caressant de mes griffes, sa peau rougit et la chaleur qui s'en dégageait lui réchauffait le cœur

Personne ne sait ce que c'est d'être seul dans le vide
Personne ne comprend
J'ai toujours voulu votre compagnie mais c'est celle de vos fers que vous m'apportiez


Et lui épargnant l'air qui lui brûlait les poumons, je la faisais respirer

Personne ne c'est ce que c'est que de ne plus rêver
Personne ne peut comprendre
Je suis perdu dans le noir et c'est mon amour que je veux vous apporter


Et la berçant elle dort à présent, elle est apaisée, elle n'a plus peur